27.12.11 : Montagnes, 3
Je regarde par le balcon la courbe de cette station, notamment ses commerces, comme je l'ai déjà décrit.
Puis, droit devant moi je regarde l'obscurité.
Ce noir cache les montagnes où rien ne brille. Et comme je ne vois rien, j'y imagine tout. La mer me semble bien. Oui, là devant moi il pourrait y avoir l'infini de la mer, qu'aucun phare, aucun cargo n'éclaireraient. Et ce gymnase en contrebas, l'un des bâtiment les plus en aval, pourrait être celui le plus proche de la plage. Tout ça est crédible.
Rien de tel que le néant pour vouloir le combler.